En développant et en lancent Kiido, on a parlé et échangé avec des centaines de parents séparés et divorcés, des personnes dans des familles recomposées. Presque tous ont indiqué que la séparation / le divorce et la coparentalité affectent leur vie professionnelle, en particulier pour les femmes.

93% des hommes et 74% des femmes reconnaissent que le divorce a un impact sur leur vie professionnelle de diverses manières.

L'équilibre travail-famille ne concerne pas seulement le bien-être des individus, mais il est également devenu un facteur clé pour attirer et retenir des talents divers au sein des entreprises.

Dans ce dernier post sur le comportement des salariés qui sont aussi parents, Il est frappant de constater que 82% des parents interrogés dans le cadre d'une enquête se disent prêts à quitter leur emploi actuel si une meilleure parentalité est offerte ailleurs, soulignant ainsi l'importance de cette question pour la loyauté des employés et la compétitivité des entreprises sur le marché du travail.Les résultats indiquent que seuls 52,5% des parents travaillent dans des entreprises offrant des mesures concrètes de soutien à la parentalité. Ce chiffre contraste fortement avec la perception des responsables des ressources humaines, dont 80 % estiment que leur entreprise offre un soutien adéquat.

Récemment, au cours des deux ou trois derniers mois, notre équipe s'est renseignée auprès des responsables des ressources humaines de diverses entreprises en France. Presque tous pensent que les entreprises font suffisamment d'efforts pour soutenir les employés qui souffrent de problèmes familiaux. Pourtant, les récits des employés sont très différents. L'écart semble trop évident et pourtant, nous constatons que de nombreuses entreprises sont occupées à faire du green washing et à "communiquer" beaucoup sur l'harmonie entre vie professionnelle et vie privée, mais qu'elles ne font pas grand-chose.

Pourquoi cette dichotomie dans les entreprises françaises ?

Qu'en pensez-vous ?